entete
Accueil > Blog > Prix de l’électricité et du gaz & marché de l’énergie en 2026 : à quoi faut-il s’attendre ? 

Prix de l’électricité et du gaz & marché de l’énergie en 2026 : à quoi faut-il s’attendre ? 

L’année 2026 marque un tournant dans le secteur de l’énergie pour les entreprises françaises. Entre fin de dispositif historique, les obligations renforcées et les réglementations européennes, les professionnels doivent anticiper ces évolutions pour sécuriser leur approvisionnement et maîtriser leurs coûts.

CTA blog-6 (1)

A retenir :

  • La fin de l’ARENH au 31 décembre 2025 expose les entreprises aux fluctuations du marché avec un prix de référence VNU de 60 €/MWh.
  • Les audits énergétiques deviennent obligatoires pour les entreprises consommant plus de 2,75 GWh/an, avec une date limite au 11 octobre 2026.
  • Le marché carbone européen se renforce via la disparition progressive des quotas gratuits et l’entrée en vigueur du CBAM pour certaines importations.
  • La fin progressive des importations de gaz russe impose la diversification des sources et le recours au GNL et aux hubs européens.

Le contexte énergétique évolue rapidement : la transition énergétique s’accélère, la souveraineté européenne se renforce et la volatilité des prix devient un facteur à intégrer dans les stratégies d’achat et de couverture.

Réforme majeure du marché de l’électricité : Fin de l’ARENH 

Depuis 2011, l’Arenh permettait aux fournisseurs alternatifs d’acheter une partie de la production nucléaire d’EDF à un tarif régulé de 42 €/MWh. Ce système prend officiellement fin le 31 décembre 2025.

Le nouveau dispositif VNU : fonctionnement et implications

À partir du 1er janvier 2026, le Versement Nucléaire Universel (VNU) remplace l’ARENH. EDF vendra désormais l’intégralité de sa production nucléaire au prix du marché. Lorsque ces prix dépassent certains seuils (78 et 110 €/MWh), une taxation progressive d’EDF redistribue entre 50 et 90 % des revenus excédentaires aux consommateurs, quel que soit leur fournisseur.

mpact de la fin de l’Arenh sur les factures des professionnels

Le vrai enjeu réside dans la disparition de la visibilité offerte par l’ARENH. Auparavant, une partie significative de l’approvisionnement bénéficiait d’un prix stable et prévisible. Désormais, les professionnels naviguent davantage à vue face aux fluctuations du marché.

Aux conditions actuelles, la fin de l’ARENH devrait entraîner une hausse comprise entre 6 et 7 €/MWh. Pour une PME consommant 100 mégawattheures par an, cela représente un surcoût de 600 à 700 € hors taxes annuels.

Les prix pour 2026 et 2027 montrent actuellement une certaine stabilité, avec une convergence vers 60 €/MWh. On retrouve progressivement des niveaux d’avant la crise énergétique de 2021-2023. Toutefois, le moindre incident technique sur les moyens de production ou des tensions géopolitiques peuvent faire varier les prix de plusieurs euros en quelques jours.

Différence entre arenh et vnu
Différence entre Arenh et VNU

Bon à savoir : Le premier tarif unitaire du VNU sera fixé au plus tard le 1er décembre 2025 par les autorités compétentes.

Audit énergétique obligatoire : qui est concerné en 2026 ?

La directive européenne sur l’efficacité énergétique impose de nouvelles obligations aux entreprises françaises. Le seuil d’assujettissement à l’audit énergétique obligatoire évolue significativement.

À partir de 2026, toute entreprise dont la consommation d’énergie annuelle moyenne dépasse 2,75 gigawattheures sur les trois dernières années doit réaliser un audit énergétique. Cette obligation remplace les anciens critères basés sur l’effectif et le chiffre d’affaires. La date butoir est fixée au 11 octobre 2026, puis l’audit doit être renouvelé tous les quatre ans.

Bon à savoir : l’audit doit couvrir au minimum 80 % de la facture énergétique de l’entreprise, incluant tous les usages.

Les entreprises dont la consommation excède 23,6 gigawattheures doivent mettre en place un système de management de l’énergie certifié ISO 50001 avant le 11 octobre 2027. Cette certification les exempte de l’audit énergétique obligatoire.

Mais, l’audit ne suffit pas. Les entreprises doivent élaborer un plan d’action recensant les mesures à mettre en œuvre pour se conformer aux recommandations, lorsque cela est techniquement ou économiquement faisable.

Décret tertiaire : échéance cruciale en septembre 2026

Le dispositif Éco Énergie Tertiaire impose aux bâtiments de plus de 1 000 m² une réduction progressive de leur consommation énergétique. L’année 2026 marque une étape importante avec plusieurs échéances déterminantes.Les assujettis doivent déclarer leurs données de consommation 2025 sur la plateforme OPERAT avant le 30 septembre 2026. Cette déclaration permettra de suivre la trajectoire énergétique des bâtiments et de vérifier la conformité aux objectifs réglementaires fixés pour 2030 (réduction de 40 %), 2040 (50 %) et 2050 (60 %).

Bon à savoir : jusqu’au 30 septembre 2026, les entreprises concernées peuvent déposer une demande de modulation des objectifs, à condition de fournir un dossier technique solide justifiant des contraintes particulières.

La plateforme OPERAT évolue avec de nouvelles fonctionnalités permettant une meilleure visualisation des données de consommation et un suivi plus précis des trajectoires de performance. Depuis janvier 2025, des notes Éco Énergie Tertiaire sont attribuées aux sites en fonction de leurs consommations déclarées.

Marché carbone européen et fin du gaz russe : double contrainte

Le système d’échange de quotas d’émission européen connaît des évolutions majeures en 2026. Parallèlement, l’Union européenne acte la sortie progressive du gaz russe.

EU ETS : suppression des quotas gratuits et CBAM

À partir de 2026, les quotas gratuits alloués aux secteurs industriels commencent leur extinction progressive jusqu’à disparition totale en 2034. Le mécanisme d’ajustement carbone aux frontières (CBAM) entre en vigueur. Les importateurs de certains produits (acier, aluminium, ciment, engrais, électricité, hydrogène) devront acheter des certificats basés sur le prix du carbone européen.

Le secteur maritime atteint 100 % d’obligations de restitution des quotas en 2026, et l’aviation voit ses quotas gratuits disparaître progressivement. Un deuxième marché carbone distinct (SEQE 2) démarre en 2027 pour les combustibles fossiles du bâtiment et du transport routier. Les entreprises distribuant ces carburants doivent surveiller leurs émissions dès 2025 et soumettre leur première déclaration vérifiée au 31 mars 2026.

Bon à savoir : un Fonds social pour le climat de 86,7 milliards d’euros au niveau européen accompagne cette transition, dont 9,7 milliards pour la France sur 2026-2032.

Calendrier de sortie du gaz russe

Le 20 octobre 2025, le Conseil de l’Union européenne a formalisé un phasage progressif : nouveaux contrats interdits dès le 1er janvier 2026, contrats à court terme stoppés au 17 juin 2026, et contrats de long terme terminés au 1er janvier 2028 (objectif politique : fin 2027).

La France se fournissait à hauteur de 13 % auprès de la Russie en 2023. L’Hexagone s’appuie désormais principalement sur la Norvège et les États-Unis via le gaz naturel liquéfié. Les professionnels doivent s’assurer que leurs fournisseurs ont bien diversifié leurs sources d’approvisionnement.

Les prix du gaz pour 2026 indiquent un prix moyen de 29,87 €/MWh, avec une tendance baissière pour 2027 (28,54 euros) et 2028 (26,08 euros).

Calendrier de sortie du gaz russe
Calendrier de sortie du gaz russe

CEE 6e période : objectifs ambitieux et leviers d’optimisation

La sixième période des certificats d’économies d’énergie débute le 1er janvier 2026 et court jusqu’au 31 décembre 2030. Cette nouvelle phase accompagne les objectifs climatiques : réduire de 55 % les émissions de gaz à effet de serre d’ici 2030, diminuer de 11,7 % la consommation d’énergie finale, et atteindre 42,5 % d’énergies renouvelables.Le doublement des objectifs par rapport à la période actuelle se répercutera sur les coûts. Les obligés (fournisseurs d’énergie) devront financer davantage de travaux de rénovation énergétique. Toutefois, les CEE restent un levier d’optimisation : les entreprises qui réalisent des travaux éligibles bénéficient de primes significatives.

Bon à savoir : restez attentifs aux évolutions des fiches CEE qui peuvent changer régulièrement au cours de cette nouvelle période, avec des ajustements sur les bonifications et les conditions d’éligibilité.

Prix de l’électricité et du gaz : que prévoir pour 2026 ?

Les prix de l’électricité baseload pour 2026 s’établissent actuellement entre 58 et 70  €/MWh. Cette fourchette reflète l’équilibre entre la fin de l’ARENH, le niveau de production nucléaire, le développement des renouvelables, et les prix du gaz et du CO2.

Pour le gaz, la tendance est baissière avec un prix moyen de 29,87  €/MWh pour 2026. Cette décrue reflète l’expansion mondiale du GNL et une demande modérée. Les contrats à terme prévoient des prix autour de 23 à 24  €/MWh d’ici 2030.

Malgré ces tendances encourageantes, la volatilité reste présente. Tout incident technique, tension géopolitique ou vague de froid peut faire basculer les marchés rapidement.

Bannière mail newsletter marché

TURPE 7 : stabilisation après une hausse exceptionnelle

Le Tarif d’Utilisation des Réseaux Publics d’Électricité connaît des changements en 2026. Le TURPE 7, entré en vigueur le 1er février 2025 avec une hausse exceptionnelle de 7,7 %, se stabilise pour la période 2025-2028. Cette augmentation unique visait à apurer le compte de régularisation des charges d’Enedis constitué pendant la crise énergétique.

À partir du 1er août 2026, le TURPE évoluera annuellement au rythme de l’inflation, sans hausse exceptionnelle supplémentaire. Les projections de la CRE estiment une progression proche de 2 à 3 % par an pour 2026, 2027 et 2028.

Bon à savoir : le TURPE représente environ 30 % de la facture d’électricité totale pour un professionnel.

Le TURPE 7 introduit également un nouveau dispositif optionnel à partir du 1er août 2026 pour les sites de production-consommation et les unités de stockage. Cette composante tarifaire transitionnelle vise à favoriser le déploiement des flexibilités énergétiques.

Autres évolutions réglementaires 2026 sur le marché de l’énergie 

Modification du DPE

Le coefficient de conversion de l’électricité passe de 2,3 à 1,9 au 1er janvier 2026. Cette évolution favorise les bâtiments chauffés à l’électricité et devrait permettre à environ 850 000 logements de sortir du statut de passoires énergétiques. Les entreprises propriétaires de leurs locaux peuvent anticiper un meilleur classement énergétique.

Budget et soutiens aux énergies renouvelables

Le projet de loi de finances pour 2026 prévoit 7,2 milliards d’euros pour les charges de service public de l’énergie : 4,2 milliards pour le photovoltaïque, 1,1 milliard pour l’éolien terrestre, 892 millions pour l’éolien en mer. Un arrêté attendu pour 2026 ciblera les installations photovoltaïques sur bâtiments, avec obligation d’approvisionnement en Europe dès juin 2026 et une prime pour les panneaux bas carbone.

Bon à savoir : là partir du 1er mai 2026, les charges liées au biométhane et à la cogénération seront financées par l’accise sur les carburants pétroliers plutôt que par le programme 345.

Prime à l’autoconsommation photovoltaïque : mise à jour trimestrielle

Les professionnels qui investissent dans l‘autoconsommation photovoltaïque doivent rester vigilants sur l’évolution de la prime à l’investissement. La Commission de régulation de l’énergie révise les montants tous les trimestres. Pour le quatrième trimestre 2025 (du 1er octobre au 31 décembre), les montants s’établissent à 80 euros par kilowatt-crête pour les installations jusqu’à 9 kWc.

Cette révision régulière implique d’anticiper vos projets solaires. Le montant de la prime est fixé à la date de demande complète de raccordement et reste ensuite garanti pour votre installation. Les entreprises qui envisagent d’investir dans l’autoconsommation doivent donc surveiller ces évolutions et lancer leurs démarches au moment le plus opportun.

Bon à savoir : ces révisions trimestrielles s’inscrivent dans le cadre de la Programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE), qui fixe la trajectoire de développement des énergies renouvelables en France.

PPE et orientations stratégiques

La Programmation pluriannuelle de l’énergie constitue le document de référence qui guide la politique énergétique française. La PPE actuelle couvre la période 2019-2028 et fixe les objectifs de développement pour chaque filière énergétique. Une nouvelle PPE (PPE 3) est en cours d’élaboration et devrait être adoptée courant 2026, définissant les orientations pour la période suivante.

Cette PPE influence directement les dispositifs de soutien aux énergies renouvelables, les objectifs de réduction de consommation et les investissements dans les infrastructures énergétiques. Les professionnels doivent suivre son évolution pour anticiper les futures orientations réglementaires.

Accises sur l’électricité et le gaz : nouveaux tarifs 2026

La fiscalité énergétique évolue avec des impacts directs sur les factures professionnelles. Pour l’électricité, les tarifs d’accise s’établissent à 25,79 euros par mégawattheure pour les PME et entreprises haute puissance depuis août 2025. À partir du 1er février 2026, l’évolution annuelle interviendra désormais à cette date et non plus au 1er août.

Bon à savoir : dès le 1er janvier 2026, une nouvelle grille tarifaire simplifiée s’appliquera aux entreprises électro-intensives, avec des taux réduits entre 2 et 7,5 euros par mégawattheure.

Pour le gaz naturel, l’accise s’établit à 15,43 euros par mégawattheure depuis août 2025, soit une baisse de 10 % par rapport au tarif précédent. Cette réduction vise à compenser partiellement la fin du bouclier tarifaire. En 2026, l’accise sera révisée en fonction de l’inflation.

Réforme des heures pleines et heures creuses (HP/HC) dès novembre 2025

Une réforme majeure du dispositif heures pleines et heures creuses entre en vigueur le 1er novembre 2025, déployée progressivement jusqu’en octobre 2027. Environ 11 millions de sites professionnels et résidentiels sont concernés.

Les heures creuses sont repositionnées selon un nouveau cadre : – Entre 23h et 7h pour le créneau nocturne (minimum 5 heures consécutives) – Entre 11h et 17h pour le créneau diurne (maximum 3 heures)

Cette répartition vise à profiter de la production solaire abondante en journée. Les professionnels équipés de panneaux photovoltaïques ou disposant de process énergivores pourront optimiser leurs coûts.

Bon à savoir : à partir de novembre 2026, une saisonnalité est introduite avec davantage d’heures creuses diurnes en été et une concentration nocturne en hiver.

Pour les entreprises, cette réforme nécessite d’adapter la programmation des équipements énergivores (chauffage, réfrigération, recharge de véhicules). Les modifications sont appliquées automatiquement par Enedis via le compteur Linky, après information du fournisseur un mois avant.

Anticiper vos contrats : l’urgence d’agir maintenant

Face à ces multiples évolutions, anticiper le renouvellement de vos contrats énergétiques devient crucial. Les entreprises dont les contrats arrivent à échéance en fin d’année 2025 ou début 2026 doivent agir sans tarder.

Stratégies d’achat adaptées

Pour l’électricité, les niveaux de prix actuels pour 2026-2028 (entre 60 et 70 euros  €/MWh) apparaissent relativement bas. Une renégociation des contrats peut donc être pertinente. Pour le gaz, les prix restent historiquement élevés en période hivernale. Attendre la fin de l’hiver et la baisse conjoncturelle de la demande peut s’avérer judicieux, avec toutes les réserves nécessaires face aux aléas géopolitiques.

ActionÉchéance
Novembre 2025Vérification option HP/HC 
Novembre 2025Audit de votre consommation énergétique
Décembre 2025Analyse de vos contrats actuels
avec un conseiller en énergie
T1 2026Plan d’action efficacité energétique 
Avant le 30 septembre 2026Déclaration OPÉRAT décret tertiaire
Avant le 11 octobre 2026Mise en conformité audit énergétique
Checklist calendrier actions marché énergie

L’accompagnement d’un courtier spécialisé

Naviguer dans cet environnement complexe nécessite une expertise pointue. Les mécanismes de formation des prix, les évolutions réglementaires et les stratégies d’optimisation requièrent un accompagnement professionnel.

Optima Énergie accompagne les entreprises dans cette démarche. Nos conseillers analysent vos besoins, comparent les offres du marché et vous aident à sécuriser vos approvisionnements aux meilleurs tarifs. Cette expertise devient d’autant plus précieuse dans le contexte de 2026, où l’incertitude tarifaire s’accroît avec la fin de l’ARENH.

Actions concrètes pour maîtriser vos coûts

Au-delà de la gestion contractuelle, plusieurs leviers existent : réaliser un audit énergétique pour identifier les gisements d’économies, investir dans l’autoconsommation photovoltaïque pour sécuriser une partie de son approvisionnement, mettre en place une gestion intelligente de l’énergie avec programmation des équipements en heures creuses, et profiter des certificats d’économies d’énergie pour financer vos travaux de rénovation.

CTA blog-2 (4)

FAQ : Nouveautés 2026 dans le secteur de l’énergie

Qu’est-ce que la fin de l’ARENH et comment cela impacte-t-il les professionnels ?

La fin de l’ARENH au 31 décembre 2025 marquera l’arrivée du VNU en 2026, un nouveau mécanisme qui devrait augmenter les prix de 6 à 7 €/MWh pour les entreprises.

Quelles entreprises sont concernées par l’audit énergétique obligatoire en 2026 ?

Toute entreprise consommant plus de 2,75 GWh par an en moyenne sur trois ans devra réaliser un audit énergétique avant le 11 octobre 2026, à renouveler tous les quatre ans et couvrant au moins 80 % de sa facture.

Comment évolue le marché carbone européen en 2026 ?

Le marché carbone se durcit : les quotas gratuits disparaissent dès 2026 pour les secteurs du CBAM, l’aviation et le maritime. Un nouveau marché (SEQE 2) concernera dès 2027 le bâtiment et le transport routier, avec une première déclaration au 31 mars 2026.

Quand l’Union européenne arrête-t-elle d’importer du gaz russe ?

L’UE interdit les nouveaux contrats de gaz russe dès le 1er janvier 2026, les contrats courts disparaissent au 17 juin 2026 et les contrats longs au 1er janvier 2028, incitant les entreprises à diversifier leurs approvisionnements.

Les prix de l’électricité et du gaz vont-ils augmenter en 2026 ?

Pour 2026, l’électricité devrait rester stable (58-70 €/MWh) et le gaz baisser légèrement (29,87 €/MWh), mais la volatilité et la fin de l’ARENH maintiennent une forte incertitude.

Comment optimiser ses coûts énergétiques face aux nouveautés 2026 ?

Plusieurs leviers permettent d’optimiser l’énergie : renouveler ses contrats avec un courtier, réaliser un audit, investir dans le photovoltaïque, gérer l’énergie intelligemment et utiliser les certificats d’économies d’énergie, avec l’aide d’experts comme Optima Énergie.